Restauration de dessin ancien

restauration de gravure à Paris 11

Les Ateliers Saint-Martin effectuent tous les travaux de restauration et de conservation de tout type de documents sur papier : dessins, peintures et documents d’archives.

Vous souhaitez restaurer un dessin ancien, une aquarelle ou encore du papier peint ancien ? Vous pouvez nous confier votre projet.

Spécialisées dans la restauration d’œuvres graphiques à Paris, nos restauratrices diplômées restaurent toutes les œuvres en papier, carte, carton ou parchemin.

À travers des protocoles de restauration stricts et des techniques parfaitement maîtrisées, nous intervenons également pour toutes les opérations de conservation. Nos services s’adressent aux particuliers, aux collectionneurs, aux musées, aux institutions, etc. Contactez-nous pour tout devis gratuit à Paris 11e.

Depuis 1980

Depuis 1980

Agrée Monuments Historiques

Agrée Monuments Historiques

Travail artisanal & traditionnel

Travail artisanal & traditionnel

Gravure ancienne, lithographie et estampe


Nous intervenons sur toutes les gravures et lithographies anciennes. Avec soin, adresse et délicatesse, nous réparons les gravures gondolées, les gravures piquées, les gravures tachées, les gravures déchirées ou encore trouées.

Nous connaissons parfaitement la chimie du papier, sa composition, sa fabrication, ainsi que les multiples risques inhérents ; vous pouvez nous confier la restauration d’estampe. Nous menons toutes les opérations de sauvetage afin de restaurer une estampe, quelles que soient sa taille et ses particularités.

Aquarelle, gouache, pastel à Paris

Nous possédons une grande expérience dans le domaine de la restauration de dessin ancien. Nous restaurons tout type de dessin de différentes époques.

Nous réalisons la restauration de dessin à l’encre, de dessin à l’aquarelle, de dessin à la gouache et de dessin pastel.

Vous pouvez nous contacter pour toute autre demande spécifique.

Désinfection


Si l’œuvre confiée présente une suspicion d’infestation de micro-organismes, il est préférable de réaliser une mise en culture avec prélèvement en écouvillon pour s’assurer de leur inactivité.

Nous faisons alors appel à Malala Rakotonirainy, spécialisée en recherche biologique, pour effectuer une analyse.

Si cette étude confirme la présence de micro-organismes vivants, la désinfection est réalisée par des spécialistes certifiés.

Dépoussiérage

Avant d’entamer toute restauration, il est nécessaire de réaliser un dépoussiérage de l’œuvre. C’est au pinceau doux que nous réalisons un dépoussiérage minutieux. Celui-ci est réalisé uniquement si nous ne sommes pas en présence de techniques pulvérulentes (crayon, pastel, graphite, sanguine…).

Cette étape permet de retirer la poussière avant de passer au gommage de l’œuvre.

Gommage et nettoyage

Une fois dépoussiérée, si l’œuvre présente des taches et des salissures plus incrustées, nous procédons au gommage de surface recto et verso. Avec une gomme adaptée et choisie en fonction du support et des salissures à effacer, nous réalisons une pression délicate sur le support et alternons les gommes afin d’avancer progressivement dans le gommage pour ne pas créer des zones plus « propres » que d’autres.

Consolidation des déchirures, comblement des lacunes


Pour ne pas abîmer l’œuvre, nous effectuons toujours sa réparation sur le verso. En fonction de l’épaisseur du papier, nous préparons des bandelettes de papier japonais, dont le grammage est choisi en fonction de l’épaisseur du papier de l’œuvre. Nous réalisons ensuite un travail minutieux, en découpant le plus étroitement possible les bandelettes et en les collant à la colle d’amidon de blé. Nous réalisons ensuite un séchage délicat entre intissés et buvards, sous poids localisés. Pour le comblement des lacunes, nous procédons aux mêmes manipulations.

Aplanissement

Tout comme pour les documents d’archives, après la restauration de l’œuvre, celle-ci est aplanie, puis humidifiée à l’aide d’un brumisateur et placée entre buvard et intissé et enfin sous poids. Pour un séchage complet et efficace, l’œuvre papier est alors laissée une semaine au minimum. Afin qu’elle puisse stabiliser ses variations dimensionnelles dans le temps, il est préférable d’envisager un séchage plus long. Nous déterminons ainsi le temps qu’il faut, en fonction du travail que nous réalisons.